Nous savions tous que le Président Macron était ce qu’on appelle un « mal élu ».Au 1er tour de l’élection présidentielle, il n’avait fait que 20% et des poussières, son score réel.
Au 2eme tour, contre le FN un âne aurait gagné.
Notre énarque a donc, dans un fauteuil remporté le siège de Président.
Issu de l’ENA (surnommé par les connaisseurs ayant de l’humour l’Ecole des Ânes), il est dans la droite lignée de ses prédécesseurs (depuis Giscard) tous énarques.
C’est dire que nous nous enfonçons depuis ce jour dans une économie « égalitaire », sauf pour notre élite administrative ( http://www.temoignagefiscal.com/un-bercypapers/ ) et notre oligarchie à la tête de marchés de connivence.
Bref nous sommes quasiment dans un régime communiste qui ne dit pas son nom mais dont tous les symptômes sont présents.
La France vous le savez est recordman mondial des impôts et taxes. (http://www.temoignagefiscal.com/liste-des-impots-et-taxes-en-france-prenez-votre-souffle-et-votre-temps-calez-vous-bien-sur-votre-fauteuil/)
Les français sont devenus les esclaves d’une administration toute puissante et tentaculaire, sauf ceux qui ont eu la chance de s’expatrier, avec à leur tête des énarques. Ceux-ci sont partout et tiennent tous les leviers de commandes.
Symptôme évident d’un régime communiste.
Bercy dirige la France d’une main de fer grâce aux nouvelles technologies au service de sa dictature.
Bercy pour avaliser ses abus a gangrené les tribunaux administratifs.
Facile, ils sont dirigés par des énarques et comme on ne tire pas sur son propre camp…
Grâce à sa propagande « d’infaillibilité » de ses agents assermentés et à la terreur sous-jacente qu’elle répand, elle influence de plus en plus les tribunaux civils.
Nous entrons donc de plein pied dans la réalité de Georges Orwell et de la dictature de nos élites.
Manque de bol, alors que tout allait bien pour nos énarques, qui nous tondaient sans discontinuer, à vif, sans aucune rébellion à part de vagues murmures inaudibles de leur bulle, une bête augmentation va mettre le feu aux poudres.
Le mouvement des Gilets Jaunes avaient commencé.
19 semaines que cela dure avec une répression de plus en plus violente qui s’apparente à la défense d’un régime dictatoriale avec arrestation massives et emploie d’armes causant d’énormes blessures à vie. Les chars de la gendarmerie sont même entrés dans Paris.
Nous n’avions pas vu cela depuis le putsch des généraux sous De Gaulle. Même en 68, avec des manifestations encore plus violentes que maintenant (il n’y a qu’à voir les photos qui traînent sur FB) aucun gouvernement n’avait osé.
Celui-ci ose tout. Il est prêt à tout pour garder le pouvoir et le gâteau qui va avec.
Prêt à la guerre civile, il va jusqu’à employer l’armée en espérant un dérapage qui la déclenche.
Le gouvernement, aidé par des médias à sa botte, déclare dans son enfumage perpétuel, toujours représenter la majorité du peuple et qu’il ne cédera jamais, les GJ n’étant qu’une poignée de factieux et de terroristes.
Et pour preuve il nous sort ses chiffres repris en cœur par tous ses médias. ( http://www.temoignagefiscal.com/la-cretinisation-agressive-et-exponentiel-de-certains-journalistes/ )
Nous savons tous que ce gouvernement avec son ministre de l’intérieur manipule ces chiffres pour nous désinformer, sa spécialité.
Manque de bol pour lui, il y a face book et ses véritables vidéos qui contredisent leurs mini-chiffres et rétablissent la vérité. Et comme Face Book est très regardé, l’enfumage réussit de moins en moins.
Et l’escalade de la violence de la répression ne peut plus être cachée.
Pour l’ex pays des droits de l’homme cela fait désordre mais notre gouvernement « représentant » la majorité dite silencieuse s’en moque devant à tout prix défendre son gâteau le peuple.
Manque de bol encore un sondage calamiteux pour eux vient de tomber ayant pour thème le « Grand débat » ci-dessous: ( https://www.nouvelobs.com/politique/20190320.OBS2087/grand-debat-86-des-francais-pour-un-changement-de-politique-economique-et-sociale.amp?__twitter_impression=true&fbclid=IwAR3wKduzb8NZ7C)
Grand débat : 86% des Français pour un changement de politique économique et sociale
Une majorité (62%) se dit aussi favorable à l’inscription dans la Constitution d’un référendum d’initiative citoyenne (RIC).
Près de 9 Français sur 10 (86%) pensent qu’il faudra « réorienter la politique économique et sociale actuelle » à l’issue du grand débat, selon un sondage Viavoice publié ce mercredi 20 mars.
Une forte majorité se prononce également pour la rénovation des « institutions et de la démocratie » (78%) et 64% jugent souhaitable d’organiser un référendum « sur une ou plusieurs propositions issues de ce débat », contre 23% d’un avis contraire.
Une majorité (62%) se dit aussi favorable à l’inscription dans la Constitution d’un référendum d’initiative citoyenne (RIC) « permettant de convoquer un référendum si une pétition recueille un nombre suffisant de signatures », contre 24% d’une opinion inverse, selon cette enquête pour la Fondation Jean-Jaurès et « la Revue civique ».
Mais les Français souhaitent qu’un éventuel RIC, l’une des revendications prioritaires des « gilets jaunes », soit étroitement encadré et en particulier qu’il ne remette pas en cause « la Constitution ou les libertés fondamentales » (77%).
Pour 43% des personnes interrogées, « la démocratie française fonctionne bien », soit 9 points de plus qu’en septembre dernier, mais 54% pensent le contraire.
Soutien aux « gilets jaunes »
Quatre mois après le début du mouvement, une majorité de Français (57%) continue par ailleurs de se dire « gilets jaunes » (10%) ou de les soutenir (47%).
Ils sont en revanche partagés sur l’impact du mouvement sur la démocratie. Pour 20% cet impact a été « plutôt positif », pour 24% « plutôt négatif » et pour 45% « à la fois positif et négatif ».
Le grand débat pour sortir de la crise est « une bonne chose » pour 58% des personnes interrogées, contre 23% d’un avis contraire. Mais ils sont aussi nombreux (71%) à penser que le débat « est surtout un moyen de communication pour le président de la République et le gouvernement » et à juger qu’il était « nécessaire compte tenu des conflits sociaux récents ».
Seuls 20% pensent que le mouvement des « gilets jaunes » doit devenir « un mouvement politique », contre 63% pour lesquels il doit rester « un mouvement social » et ne pas se présenter aux élections.
Etude réalisée en ligne du 6 au 7 mars auprès de 1.020 personnes de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. Marge d’erreur de 1,4 à 3,1 points.
Et :
« Gilets jaunes » : les violences de « l’acte 18 » discréditent Castaner, selon un sondage
Plus des deux tiers des Français (68%) désavouent la réaction de l’exécutif, qui a voulu afficher sa « fermeté » en limogeant le préfet de police de Paris, son directeur de cabinet et le directeur de la sécurité publique (DSP) dans la ville. Pour eux, « c’est une mauvaise décision, car c’est le ministre de l’Intérieur et pas le préfet de police ou le DSP qui est le principal responsable de cet échec ».
76% des personnes n’ont « pas confiance » en Castaner pour restaurer l’ordre. De même, 76% des personnes interrogées n’ont « pas confiance » en Christophe Castaner pour « restaurer l’ordre public et éviter pareils débordements à l’avenir ». La volonté affichée par l’exécutif de reprendre en main le maintien de l’ordre ne profite pas non plus au Premier ministre ni au Président de la République : 67% des sondés ne font « pas confiance » à Edouard Philippe sur cette question, et 70% doutent également d’Emmanuel Macron.